Avec Histoires d'Entrepreneur.e.s, Stéphane Bern vous emmène à la rencontre de 13 entrepreneur.e.s engagé.e.s, qui ont osé se réinventer pour surmonter la crise du Covid-19. Aujourd'hui, rencontre avec Juliette Babelot, fondatrice des Capuches à Mémé. Créée en 2017, l’entreprise remet au goût du jour un objet de bon sens, une capuche, pour le transmettre aux futures générations.
Tirer des enseignements de la crise. Juliette Babelot a su profiter des deux mois de confinement pour réadapter sa stratégie. Diversifier son offre, et se digitaliser, la Capuche à Mémé évolue pour faire perdurer cet héritage.
« Le confinement m'a forcée à me mettre au digital”
Pendant le confinement, Juliette Babelot, a dû accélérer sa digitalisation. Celle qui n'avait pas l'habitude de passer par ce support admet "s'être forcée". Cet outil lui a permis de s’adapter aux contraintes sanitaires en créant « une application qui permet d’essayer les capuches virtuellement ». Au-delà du digital, la crise a accentué la conscience écologique de l’entrepreneure qui souhaite aller « vers une production plus verte ».